Fruit de l'entreprise si louable d'éducation musicale des fauves par l'abbé Fourreau-Jambaize, la location de deux douzaines de gramophones géants pour le Zimbabwe a ruiné la compagnie Guluc et Goloc, car les animaux n'ont pas toléré — comme on les comprend — la polka souabe, dont le rythme exagérément alangui est, il faut en convenir, contestable. Les appareils, déchiquetés, se sont répandus en morceaux jusque dans les zones glaciaires.