Soigneux de son apparence, le schloug pousse le raffinement de son bronzage intégral jusqu'à ses organes, qu'il sort à volonté. On a cru qu'il était non fini, que sa constitution omettait la peau et les plumes, mais il s'agit en fait d'un habitus, partagé autant par les mâles que les femelles. Toutefois, au moment da la reproduction, les foies gonflés, les poumons sanguinolents, les rates bleuies rutilent sur les branches, et on en conclura que leurs tailles et couleurs symbolisent la puissance du mâle.